Les Moutons Marseillais s’invitent en ville ! Dans le cadre du Cortège des Transitions, nous organisons une grande balade avec le troupeau, en compagnie du Collectif SAFI, depuis la Cité Saint-Barthélémy SNCF jusqu’au domaine de Montgolfier.
Deux autres points de passage dans le quartier sont prévus afin d’emmener les habitant·e·s jusqu’au domaine Montgolfier où de nombreuses activités sont prévues l’après-midi.
Le Laboratoire plastique de Pamparigouste – composé de scientifiques, artistes et sociologues – présente sa grande assemblée de l’année. Celle-ci prendra la forme d’une balade la matinée, et de présentations, ateliers et jeux sur la plage du Jai l’après-midi. Venez découvrir les trouvailles de ce Laboratoire pas comme les autres !
« Mieux vaut regarder là où on ne va pas, parce que, là où on va, on saura ce qu’il y a quand on y sera. »
Le 1er opus (Plastique, où es-tu, m’entends- tu, que dis-tu ?) posait les bases de ce qu’est le plastique et de son omniprésence dans nos vies. Le second opus emprunte une maxime aux Shadoks pour nous inviter à regarder ce qui est là, le plastique dans ses modes d’existence. Entre étang et rivières, les premiers résultats des recherches scientifiques nous conduiront vers d’autres échelles que celles de nos yeux, les travaux des artistes vers d’autres récits de la matière, et nous partagerons comment les habitants des rives perçoivent et accordent leurs vies à ce monde industriel qu’ils côtoient au plus près.
Dans les projets de recherche avec plusieurs organismes, il y a souvent des « comités de pilotage », des moments de rencontre annuels où on se dit où on en est et où on va. Ce n’est pas vraiment surprenant que dans une expérience comme celle du Laboratoire Plastique de Pamparigouste on ait eu envie de tenter ce grand rendez-vous plutôt en marchant et en vous invitant.
9H : Rdv à l’arrêt de bus Raffinerie à Chateaneuf-les-Martigues 13H : Pique-nique partagé sur la Plage du Jaiau niveau du restaurant La Galiote 14H : Ateliers, démonstrations, discussions et jeux, en présence de la caravane l’Étang mobile
Redécouvrir le premier épisode de notre trilogie plastique avec le carnet Ressentir l’étang
Après plusieurs navigations, l’équipage ramène des récits et des jeux qu’il partage avec vous dans ce cahier, pour que, à votre tour, vous plongiez dans l’étang et découvriez celles et ceux qui l’habitent. Vous pourrez vous procurer ce carnet lors de la balade de la Trilogie plastique (5 euros) ou dans certaines médiathèques de l’Étang de Berre.
En partenariat avec les communes et bases nautiques riveraines de l’étang de Berre. La Laboratoire Plastique de Pamparigouste est une recherche-action soutenue par la Fondation de France dans le cadre du programme « Les futurs des mondes du littoral et de la mer 2022 » et par le Ministère de la culture.
Retour en images sur la Trilogie Plastique #1 (novembre 2023)
À l’occasion de J’crains Dégun, parcours culturel visant à visibiliser la question des violences faites aux femmes et aux minorités de genre, la photographe Diane Hymans proposera une balade-atelier de photographie à un groupe de femmes. Leurs créations réalisées pendant l’atelier feront l’objet d’une exposition – du 12 au 29 novembre 2024 – et le vernissage aura lieu lundi 18 novembre de 9h30 à 10h30 à la Mairie des 1er & 7e arrondissements.
Diane Hymans est artiste photographe, vidéaste et collectionneuse d’images. Son regard s’intéresse particulièrement aux représentations du végétal employé comme motif et comme ornement ainsi qu’à l’image du féminin. Son travail porte une attention particulière à déconstruire les clichés qui les assimilent à la fragilité ou à la mièvrerie pour réaliser des projets hybrides, déplaçant les frontières entre le commun et l’inattendu, entre le vivant et l’artefact.
J’crains dégun, c’est un parcours culturel qui aura lieu pendant deux jours, les 23 et 25 novembre 2024 à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes et minorités de genre. Nous prendrons part à ce dense programme en vous proposant une balade avec Nathalie Cazals (anthropologue, archéologue). Pour décrire les luttes d’hier et d’aujourd’hui portées par les femmes, nous marcherons sur les pas de Louise Michel.
Samedi 23 novembre 2024 15h-17h Balade : Sur les pas de Louise Michel – La place des femmes dans l’espace public
Une balade pour décrire les luttes d’hier et d’aujourd’hui portées par les femmes, et présenter quelques portraits emblématiques de femmes qui ont marqué l’histoire par leurs luttes pour l’indépendance et l’acquisition de leurs droits. Ces luttes et révoltes sont avant tout pour leur liberté. Cette balade invite également à débattre des questions de genres et de revendications anticoloniales.
Balade gratuite sur inscription (via J’crains Déguin)
Le collectif marseillais « Le nuage était sous nos pieds » propose trois journées d’échanges, de projections et de balade conférencée autour des infrastructures du numérique les 8, 9 et 10 novembre 2024. Ce collectif est composé du Collectif des Gammares, de Technopolice, qui analyse et lutte contre les technologies de surveillance, et La Quadrature du Net, qui défend les libertés fondamentales dans l’environnement numérique.
On a cru pendant longtemps que les données volaient dans les airs. Des grappes de bits dans l’éther du « cloud » qui, imperceptiblement, se faisaient mail ou vidéo une fois l’ordinateur allumé. Et puis on a regardé sous nos pieds. La plaque en fonte Pont-à-Mousson. La trappe dans le goudron, nommée « regard », estampillée « télécom », où se lovent les câbles qui transmettent les informations à l’échelle mondiale. Un fil dont l’âme est de verre et qui transmet les données à la vitesse de la lumière. Sous nos pieds, la prolongation terrestre de grands câbles sous-marins, autoroutes qui relient et contournent les continents. Sur nos plages, leurs chambres d’atterrissement.
Au point de croisement de ces « autoroutes de l’information » : les data centers. Ces méga-ordinateurs bétonnés renferment des milliers de serveurs qui rendent possible le technocapitalisme : le trading à haute fréquence, la publicité et le pistage de données personnelles, la smart-city, l’agriculture connectée, la surveillance algorithmique via intelligence artificielle. Des « services » à n’en plus finir, imposés, marchandés, marketés, pour mieux accaparer nos territoires et nos vies, sous l’égide des plus grandes multinationales de ce monde.
[…]
Samedi 9 novembre 2024 : Balade le long des infrastructures du numérique à Marseille
Pensée avec le Bureau des guides, cette balade-conférencée du deuxième jour de festival ira de la Calade à la Joliette, sur les traces des impacts socio-écologiques des infrastructures du numérique dans nos quartiers et dans nos vies. Intervenant·e·s : Agnès Jouanaud, Bernard Genêt, Rémi Grisal, Julia Rostagni, Le Nuage était sous nos pieds.
Déroulé : 9h30 – Départ de la balade Bar du Terminus – 2 boulevard Paumont 13015. Première partie de marche : La Calade, Cap Janet, Grand Port Maritime. 12h30 – Pique-nique au parc du Chemin du Littoral 13002 Marseille. 14h30 – Deuxième partie de marche : Galerie à la mer, La Cabucelle, Les Crottes, Smartseille, La Villette. 18h – Arrivée et fin de la balade près de l’Hôpital Européen, Métro Désirée Clary.
À l’occasion de la journée Sport 100% Nature organisée par le Département des Bouches-du-Rhône, le Bureau des guides du GR2013 vous propose une balade à Saint-Chamas au départ de la plage des Cabassons.
Avec Nicolas Memain, on longera comme on peut l’autoroute Nord de Marseille, à la recherche de traces figées de l’ancien terroir, jusqu’à Saint-Antoine, où l’on prendra le bus 97 qui nous ramènera Porte d’Aix. Dans le bus, on se demandera si cette expérience de terrain aura enrichi notre relation à l’autoroute Nord et à son paysage…
L’humain s’installe là où le relief et l’eau l’invitent. Aubagne s’est développée auprès de l’Huveaune, aux creux des massifs du Garlaban et de Douard et dans les contreforts de la Sainte-Baume. Guidés par Alexis Feix, paysagiste, suivrons le fil de l’eau et de la courbe de niveau, le regard porté sur les arbres. Ces arbres nous guideront et nous raconteront les récits de leurs noms et les récits de leur installation.
Nommer pour reconnaître. Reconnaître des essences, mais aussi des individus à part entière qui nous racontent des lieux et des relations. Donner un nom, c’est reconnaître l’existence, attribuer une identité. Nommer un arbre, c’est le singulariser, le distinguer parmi tant d’autres…
Il y a l’arbre isolé, l’arbre du bois, l’arbre d’alignement. L’alignement historique, l’alignement complété, l’alignement aménagé, mais aussi l’alignement spontané qui négocie son passage au travers des installations humaines. L’arbre isolé remarquable, mais aussi, anecdotique, passager.
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