Catégorie : Non classé (à reclasser)
une traversée de Marseille
SUR LES BLOGS DES MARCHEURS : des randonneurs racontent leur GR2013
SAFI
Collectif de plasticiens-cueilleurs.
Du Sens, de l’Audace, de la Fantaisie et de l’Imagination, est un collectif d’artistes plasticiens fondé en 2001 par Stéphane Brisset et Dalila Ladjal
SAFI travaille, apprend, rêve, partage, imagine, transmet à partir du végétal. Non pas la nature conservée, ni la nature domestiquée, mais celle plus complexe des espaces en friche, des frontières de la ville, là où le jeu reste possible tout en posant les enjeux du devenir urbain.
Le collectif explore les ressources, se nourrit de rencontres, prend le temps de la résidence, du vagabondage et de l’expérimentation pour prendre le pouls des territoires traversés. Il met en valeur, en lumière, la conversation intime entre des hommes et leur environnement.
À partir d’un répertoire de gestes fondamentaux : marcher, sentir, écouter, manger… SAFI invite à traverser des zones oubliées, à pratiquer des gestes vernaculaires et à (re)découvrir des richesses insoupçonnées. Il propose de faire des expériences sensibles qui révèlent ce qui sous nos yeux se dérobe, peut-être par habitude. il propose de découvrir qu’une mauvaise herbe peut être un végétal étonnant, un délice en cuisine ou un matériau d’avenir et constitue un véritable héritage qui nous aide à comprendre notre environnement, nous relie les uns aux autres et fait apparaître la ville sensible et affective.

Sur le GR2013, ils proposent de parcourir un monde connu, en quête d’inattendu. Safi nous invite ainsi à manger les paysages en déployant différents protocoles (cuisine mobile, poudres paysages, carte comestible…) et à mieux utiliser nos sens pour percevoir l’étonnante beauté de lieux qui nous sont familiers.
SAFI : guides au sein du programme Nature For City Life

Récits de marcheurs
Des randonneurs racontent leur GR2013
Une école des guides
Le GR2013 est un espace de partage des connaissances. Il invite à gratter ce que l’on sait avec les pieds, à croiser des savoirs qui parfois s’ignorent, à placer la rencontre au cœur de la construction des représentations. Du séminaire en marchant au stage de formation, l’Ecole des guides regroupe des actions de formations et de transmission autour des pratiques artistiques de la marche et des méthodologies de l’arpentage en milieu péri urbain.
Sur les traces de la French Connection 2
une visite guidée du centre-ville de Marseille – le 30 avril 2016
Une visite guidée du centre-ville de Marseille avec en poche les photogrammes d’un film noir tourné en 1974, prétexte à zigzaguer dans les quartiers Belsunce, Carmes et Opéra (créée en 2014 pour le Comité d’Entreprise de la Société Nationale de l’Electricité et du Gaz). retrouver les angles et cadrages du tournage d’un des plus fort portrait de Marseille et faire monter le vertige du spatio-temporel.
Rendez-vous devant l’Alcazar, Cours Belsunce
durée environ 2h30 deux heures et demi
longueur environ 2,5 kilomètres

Le 15 février et le 20 MARS 2016 – Catégorie 3
Technique d’imprimerie
La typographie est à l’origine l’art d’assembler des caractères mobiles afin de créer des mots et des phrases et de les imprimer. Cette technique a été mise au point vers 1440 par Gutenberg, qui n’a pas inventé l’imprimerie à caractères mobiles mais un ensemble de techniques conjointes : les caractères mobiles en plomb et leur principe de fabrication, la presse typographique (inconnue des Orientaux), et l’encre grasse nécessaire à cet usage.
La typographie, par extension, est la technique d’impression qui utilise le principe du relief, comme les caractères mobiles en plomb et en bois, mais aussi les images en relief, d’abord gravures sur bois puis clichés en métal et en photopolymère. La typographie a été pratiquement la seule forme d’impression jusqu’au XXe siècle, où elle a été remplacée par l’offset, lui-même issu de la lithographie inventée au début du XIXe siècle. L’impression typographique existe encore pour des travaux artisanaux à tirage limité ainsi que pour la découpe, l’embossage et l’estampage.
On appelle prote le chef d’un atelier de typographie.
Art de dessiner et d’utiliser les caractères
En second lieu, la typographie est l’art et la manière de concevoir et de se servir des caractères : choix de la police, choix de la fonte et de la mise en page, indépendamment de la technique de publication (impression, affichage sur écran, etc.). Actuellement, la typographie en tant que technique est devenue marginale, tandis qu’en tant que pratique, appliquée par chaque utilisateur d’ordinateur, elle est devenue universelle. Le passage d’un métier (voire d’un art) très complexe à un usage généralisé, et d’autant plus complexe qu’un nombre sans cesse croissant de nouvelles polices apparaît chaque jour, n’est pas sans poser de nombreux débats et problèmes.
Le terme de typographe désignait à la fois l’imprimeur et le créateur de caractères, car la même personne se chargeait de tout le travail. Lorsque l’activité de dessinateur de caractères est devenue un métier distinct, la majeure partie des créateurs a récusé l’appellation de « typographe ».
Le 15 février et le 20 MARS 2016
Technique d’imprimerie
La typographie est à l’origine l’art d’assembler des caractères mobiles afin de créer des mots et des phrases et de les imprimer. Cette technique a été mise au point vers 1440 par Gutenberg, qui n’a pas inventé l’imprimerie à caractères mobiles mais un ensemble de techniques conjointes : les caractères mobiles en plomb et leur principe de fabrication, la presse typographique (inconnue des Orientaux), et l’encre grasse nécessaire à cet usage.
La typographie, par extension, est la technique d’impression qui utilise le principe du relief, comme les caractères mobiles en plomb et en bois, mais aussi les images en relief, d’abord gravures sur bois puis clichés en métal et en photopolymère. La typographie a été pratiquement la seule forme d’impression jusqu’au XXe siècle, où elle a été remplacée par l’offset, lui-même issu de la lithographie inventée au début du XIXe siècle. L’impression typographique existe encore pour des travaux artisanaux à tirage limité ainsi que pour la découpe, l’embossage et l’estampage.
On appelle prote le chef d’un atelier de typographie.
Art de dessiner et d’utiliser les caractères
En second lieu, la typographie est l’art et la manière de concevoir et de se servir des caractères : choix de la police, choix de la fonte et de la mise en page, indépendamment de la technique de publication (impression, affichage sur écran, etc.). Actuellement, la typographie en tant que technique est devenue marginale, tandis qu’en tant que pratique, appliquée par chaque utilisateur d’ordinateur, elle est devenue universelle. Le passage d’un métier (voire d’un art) très complexe à un usage généralisé, et d’autant plus complexe qu’un nombre sans cesse croissant de nouvelles polices apparaît chaque jour, n’est pas sans poser de nombreux débats et problèmes.
Le terme de typographe désignait à la fois l’imprimeur et le créateur de caractères, car la même personne se chargeait de tout le travail. Lorsque l’activité de dessinateur de caractères est devenue un métier distinct, la majeure partie des créateurs a récusé l’appellation de « typographe ».