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Transect Nord Euroméditerranée

Un reportage de Benjamin Bechet d’après une balade de Raphaël Caillens

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Découvrez les récits des marches

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.


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Le Ruisseau des Aygalades

Un récit dessiné de Benoit Guillaume d’après une balade des Gammares

 

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

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Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.


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Arbres en villes

Arbres en ville un roman-photo d’Amélie Laval d’après une balade de Nicolas Memain 

 

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

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Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.


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Repanser les villes – Penser la nature

5 balades urbaines

Les changements climatiques constituent l’un des défis majeurs de notre siècle. Ils impactent d’ores et déjà nos vies au quotidien : pics de chaleur estivaux, fréquence et violence des catastrophes naturelles, sècheresses, propagation de maladies, dégradation de la qualité de l’air…

Ces impacts des changements climatiques sont exacerbés en milieu urbain du fait de leur combinaison avec l’artificialisation des sols et la concentration des activités humaines. Or, plus de la moitié de la population mondiale vit aujourd’hui dans les zones urbaines, une proportion qui devrait encore augmenter et atteindre les 66% d’ici 2050.

Face à ces changements climatiques, renforcer l’adaptation des espaces urbains est un défi majeur à relever. Le développement et la valorisation des zones de nature (infrastructures ou trames vertes et bleues) et de l’ensemble des services rendus par la nature en ville est une réponse à cet enjeu.

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Des marches aux 5 coins de Marseille

Arbres en ville de Nicolas Memain a été roman-photographié par Amélie Laval.

Le Terradou des hauts de Sainte-Marthe du Collectif SAFI a été cartographié par Julien Rodriguez.

Transect Nord Euroméditerranée de Raphaël Caillens a été documentée par Benjamin Bechet.

Le Ruisseau des Aygalades des Gammares a été croquée par Benoît Guillaume.

Foresta de Virginie Lombard (Hôtel du Nord)

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

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Camille Fallet

Photographe enquêteur de l’imaginaire

Camille Fallet a commencé par documenter les paysages de l’Aveyron, où il a grandi, et poursuit une série sur les Molènes, hautes plantes qu’on trouve presque partout dans le monde, disséminées par le vent et les automobiles. À la manière d’un enquêteur, Camille Fallet relève à chaque fois dans un environnement donné des éléments potentiellement significatifs. Sa recherche est aussi celle d’images antérieures, liées à un imaginaire personnel. Dans cette mémoire visuelle associative, la notion de découpage, au double sens d’extraction et de séquence, tient une place essentielle. Elle constitue le lien entre les bandes dessinées, les films fantastiques et les livres d’artistes utilisant la photographie à travers lesquels son regard s’est formé.

Il fait parti de l’équipe initiatrice du projet INVENTAIRE qui rassemble une vaste sélection de travaux photographiques réalisés sur l’aire métropolitaine des Bouches-du-Rhône depuis les années 1980. Il réunit aujourd’hui près de 60 photographes et plus de 5000 images. Ce rassemblement inédit d’oeuvres photographiques a pour vocation de s’exposer en ligne pour y présenter côte à côte des séries d’images qui révèlent, en les parcourant, ces territoires balayés par un même vent.

 
 

 

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Christelle Gramaglia

Sociologue des territoires pollués

Christelle Gramaglia est sociologue à l’INRAE de Montpellier depuis 2007. Elle est titulaire d’un doctorat en socio-économie de l’innovation (mention sociologie), obtenu à l’Ecole des Mines de Paris en 2006. La même année, elle a effectué un stage post-doctoral à l’Institut Max Planck pour l’histoire des Sciences de Berlin.

Depuis 2021, elle est habilité à diriger des recherches. Son mémoire de HDR, intitulé « Pollutions, vies altérées et nouvelles socialités chimiques » devrait être publié en 2022. Si elle continue à travailler sur la construction des savoirs sur les pollutions, à partir de la mesure et de l’observation, elle consacre désormais une partie de son temps à la question de la réhabilitation des milieux abimés par le productivisme : friches industrielles et rivières.

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Laurence Nicolas

Ethnologue des peuples du littoral

Laurence Nicolas est anthropologue et travaille sur les questions d’appropriation et de représentation de l’espace littoral, les conflits environnementaux, l’habitat précaire, l’étude des pratiques de nature, à caractère professionnel ou de loisir, et la mutation des espaces ruraux et industriels.
Certaines de ses recherches portent aussi sur les représentations sociales relatives à la ressource hydraulique et sur les perceptions liées au risque d’inondation et de submersion marine.
À l’issue de sa thèse d’anthropologie, elle cofonde, en 2008, un bureau d’études sociologiques et ethnologiques, RESSOURCE, spécialisé dans l’analyse des conflits d’usage, l’étude des représentations et perceptions des territoires, les différents types de rapports à la nature et les pratiques liées à l’environnement.
Un grand nombre de ses travaux ont porté sur le territoire du delta du Rhône. En 2008, elle publie Beauduc, l’utopie des gratte-plage. En 2020, elle fonde un cabinet d’expertise ethnologique : Façons de dire

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Elise Boutié

Anthropologue spécialiste des sujets brûlants

Issue du cinéma documentaire, Elise Boutié est aujourd’hui doctorante en anthropologie sociale à l’EHESS, sous la direction de Birgit Müller. Ses recherches, menées essentiellement en Californie, portent sur la façon dont les transformations de l’environnement forcent les collectifs humains à se réadapter à un paysage qu’ils croyaient contrôler. Son travail de master était consacré à l’étude des effets de la privatisation de l’eau dans un désert californien où l’usage et la rareté de cette ressource posent aujourd’hui la question de sa gestion sous l’angle du bien commun. Sa thèse s’intéresse désormais aux feux de forêt et à la catastrophe qu’ils peuvent engendrer. En partant d’une enquête de terrain menée en Californie du nord, dans la ville de Paradise, il s’agit pour elle de s’intéresser à la façon dont les habitants de cette ville de 27 000 âmes située dans une forêt de conifères et détruite par un méga-feu le 8 novembre 2018, sont affectés et réagissent à la perte de leur habitat familier. Des collectifs écologistes aux membres de l’église évangéliste, en passant par les populations les plus vulnérables son travail pose la question de la justice environnementale dans le contexte néo-libéral états-unien et emprunte autant à l’anthropologie politique de l’environnement qu’à l’anthropologie de la catastrophe.

Autour de sa thèse

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