Balade sonore Cap sur Istres !

Une balade sonore le long des rives istréennes
Plonger dans l’envers de la carte, pour mieux (re)découvrir les rives de cette lagune à la beauté obsédante. Dans l’édition de l’Atlas Michelin de 2015, l’étang de Berre disparaît. Un équipage hybride d’artistes, riverain·e·s, scientifiques se réunit pour voir ce qui se cache derrière cette disparition. Petit à petit, l’équipage s’agrandit de toutes les rencontres faites en chemin. Moules, zostères, torchères racontent l’histoire de Pamparigouste : une île cachée où la vie est douce et heureuse.
Cette balade sonore du Bureau des guides du GR2013 réalisée par Pascal Messaoudi et proposée par l’office du tourisme d’Istres, relate cette enquête à la recherche de cette île que les anciennes légendes situent quelque part à l’étang de Berre. C’est depuis les rives d’Istres, et les secrets qu’elle recèle, que l’équipage Pamparigouste vous invite à (ré)explorer cet étang. Et si cette disparition dans l’atlas était un indice pour nous mener vers l’île tant rêvée ?

Point de départ GPS : 43.504723 – 4.996165

Expédition Pamparigouste : cap sur Istres ! est une balade sonore du Bureau des guides du GR2013, réalisée par Pascal Messaoudi et coproduite par l’Office de Tourisme de la ville d’Istres. Conception éditoriale et création graphique de la carte par le Bureau des guides du GR2013 d’après des dessins d’Adrien Zammit.

Les Venants

Expérience sensible au cœur du quartier de la Joliette en reliant le FRAC au Mucem

Les Venants propose une expérience sensible au cœur du quartier de la Joliette en reliant le FRAC au Mucem. Les élèves des établissements scolaires venant à Marseille durant une journée peuvent ainsi déambuler entre les deux structures et être transportés dans un voyage imaginé par 4 artistes-auteurs : Nicolas Mémain, Geoffroy Mathieu, Mehdi Ahoudig et Hadrien Bels.

Associant regard et écoute et mêlant images contemporaines et anciennes, histoires, souvenirs et anecdotes… ce voyage entre les deux lieux invite à emprunter des chemins parallèles et à poser un regard singulier sur la ville.

Le quartier de la Joliette est un quartier en permanente mutation. Bordant la mer depuis le Vieux-Port, il a d’abord été lieu de villégiature puis centre industriel de Marseille avant que la fin des échanges de matières par bateaux ne ralentisse son activité. Le projet Euroméditerrannée initié dans les années 1990 l’a progressivement transformé en implantant successivement entreprises et centres commerciaux. Aujourd’hui réhabilité, le patrimoine industriel de la Joliette côtoie de nombreuses institutions culturelles à l’architecture très contemporaine inaugurées pour la plupart en 2013. Ce nouveau visage où passé et présent s’entremêlent nous raconte une part de l’histoire de Marseille, et de son identité.

Commanditaires : FRAC et Mucem dans le cadre du dispositif  TRAIT D’UNION 

Application créée par Mardi8 en tant que mécène du projet, en collaboration avec Le Bureau des guides du GR2013, producteur exécutif.

Le Terradou des hauts de Sainte-Marthe

Une carte de Julien Rodriguez d’après une balade du collectif SAFI 

© Julien Rodriguez

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Découvrez les récits des marches

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

Transect Nord Euroméditerranée

Un reportage de Benjamin Bechet d’après une balade de Raphaël Caillens

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Découvrez les récits des marches

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

Le Ruisseau des Aygalades

Un récit dessiné de Benoit Guillaume d’après une balade des Gammares

 

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Découvrez les récits des marches

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

Arbres en villes

Arbres en ville un roman-photo d’Amélie Laval d’après une balade de Nicolas Memain 

 

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Découvrez les récits des marches

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

Repanser les villes – Penser la nature

5 balades urbaines

Les changements climatiques constituent l’un des défis majeurs de notre siècle. Ils impactent d’ores et déjà nos vies au quotidien : pics de chaleur estivaux, fréquence et violence des catastrophes naturelles, sècheresses, propagation de maladies, dégradation de la qualité de l’air…

Ces impacts des changements climatiques sont exacerbés en milieu urbain du fait de leur combinaison avec l’artificialisation des sols et la concentration des activités humaines. Or, plus de la moitié de la population mondiale vit aujourd’hui dans les zones urbaines, une proportion qui devrait encore augmenter et atteindre les 66% d’ici 2050.

Face à ces changements climatiques, renforcer l’adaptation des espaces urbains est un défi majeur à relever. Le développement et la valorisation des zones de nature (infrastructures ou trames vertes et bleues) et de l’ensemble des services rendus par la nature en ville est une réponse à cet enjeu.

Le projet Nature for city LIFE vise à renforcer l’adaptation des espaces urbains aux impacts des changements climatiques grâce au développement et à la valorisation de la nature en ville. Au travers d’un partenariat fort et innovant entre les métropoles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le projet permet de démontrer les services rendus par la nature en milieu urbain et d’apporter ainsi des solutions concrètes pour toutes les villes méditerranéennes et au-delà ! Le 8 octobre 2021 a été l’occasion de faire un point sur le projet Nature for City Life initié en 2017. À cette occasion 5 marches ont été proposées par le Bureau des guides du GR2013…

Des marches aux 5 coins de Marseille

Arbres en ville de Nicolas Memain a été roman-photographié par Amélie Laval.

Le Terradou des hauts de Sainte-Marthe du Collectif SAFI a été cartographié par Julien Rodriguez.

Transect Nord Euroméditerranée de Raphaël Caillens a été documentée par Benjamin Bechet.

Le Ruisseau des Aygalades des Gammares a été croquée par Benoît Guillaume.

Foresta de Virginie Lombard (Hôtel du Nord)

Le projet Nature For City Life est un projet coordonné par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec la ville de Marseille, la métropole Aix-Marseille Provence, la métropole Toulon Provence Méditerranée, la métropole Nice Côte d’Azur, Air Paca, le Laboratoire Ecologie Population Développement (université AMU) et le Bureau des guides du GR2013.

Découvrez les récits des marches

S’exposer au vent

Conversations autour du projet d’éoliennes flottantes dans le golfe du Lion 

La programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit qu’en 2030, 40% de l’électricité provienne de sources renouvelables. Pour parvenir à cet objectif, elle prévoit d’attribuer en Méditerranée, en 2022, deux parcs éoliens flottants commerciaux de 250 MW chacun et de leurs extensions, de 500 MW chacune. C’est l’ensemble de ce projet qui est soumis au débat public. Selon le Code de l’environnement (art L121-1), un débat public doit permettre de débattre de l’opportunité d’un projet, de se questionner sur des solutions alternatives et des enjeux de société qu’il sous-tend.

Que l’on soit pêcheur.se, paysagiste, juriste, habitant.e, ornithologue, historien.ne de l’énergie ou ingéneur.e en éolienne, les questions que l’on adresse aux futurs parcs éoliens flottants ne sont pas les mêmes. Il souffle pleins de vents, parfois contraires, alors prêtons une attention à toutes les brises pour apprendre à s’orienter et éprouver collectivement le futur…

Un premier temps d’enquêtes collectives visant à mettre en commun questions, connaissances, points de vue et enjeux avec différentes communautés concernées a eu lieu cet été grâce à trois marches. La première marche du 9 juillet sous forme d’une navigation de Port de Bouc à Port Saint Louis en compagnie de Bertand Folléa, paysagiste directeur de la chaire paysage de la transition énergétique, Marie-Laure Lambert, chargée de recherches en droit de l’environnement, Yves Henocque, écologue marin questionnant les modes de gouvernances maritimes.. La seconde du 31 août dans les sansouires Port Saint-Louisiennes pour porter notre attention sur les mobilités éoliennes et animales en compagnie d’Arnaud Bechet, Écologue de la Tour du Valat, Alain Nadaï, Socio-économiste des enjeux énergétiques, Stéphane Arnassant, Responsable du pôle biodiversité et patrimoine naturel du Parc naturel régional de Camargue, Laurence Nicolas, anthropologue et Christelle Gramaglia, sociologue. La troisième le 9 septembre aux alentours de l’anse de Gloria en nous invitant à converser sur les usages du littoral et de la mer, les politiques énergétiques et économiques ainsi que la place des communautés concernées dans les processus décisionnels en compagnie d’Olivier Labussière, socio-économiste des enjeux énergétiques et Vincent Baggioni, animateur régional du réseau Energie Partagée..

A partir de toutes ces explorations et conversations estivales, une grande marche entre la mer et la terre, le vent et les fonds, s’est déroulée le 2 octobre 2021. Un parcours en bateau de Port de Bouc puis à pied dans la vaste paysage de Port St Louis nous amène à éprouver les échelles, déplier l’énergie, interroger notre rapport à la mer. Des interventions de chercheurs, d’usagers ou d’acteurs du projet seront revisitées et mises en discussion par les artistes associés et par l’expérience située de la balade.en compagnie de l’artiste Camille Goujon, du collectif SAFI, des chercheurs Alain Nadai (Socio-économiste des enjeux énergétiques), Fabien Bartolotti (historien de l’énergie), Laurence Nicolas (anthropologue) et Marie-Laure Lambert (juriste de l’environnement), de Bernard Genet (ancien agent du Grand port de Marseille), Pierre-Yves Hardy (WWF),  Yves Henocque (écologue marin), Vincent Baggioni (animateur régional du réseau Energies Partagées) et de ceux et celles concernées par le projet qui ont marché avec nous tout l’été.

Nous vous invitons à découvrir la restitution de toute cette enquête à travers un roman-photo d’Amélie Laval et une édition regroupant les entretiens retranscrits, les images de Benjamin Bechet et les dessins de Benoit Guillaume.

Journal La Provence, le 15 juillet 2021

DANS LE CADRE DU DÉBAT EOS – QUELLES ÉNERGIES EN MÉDITERRANÉE ?
DU 12 JUILLET AU 31 OCTOBRE 2021